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Salbris : Un nouveau commandant à la brigade motorisée

Vendredi 24 septembre avait lieu la cérémonie de prise de commandement de la brigade motorisée de Salbris, l’occasion de faire un point sur les missions affectées à ce peloton et d’en présenter le nouveau chef.
Le major Francis Courivaud vient de prendre la direction de la brigade motorisée (B.MO.) de Salbris. Entré dans la gendarmerie en 1998, après l’école de Châtellerault, Francis Courivaud a eu de nombreuses affectations avant d’arriver à Salbris. En décembre 1999, il intègre l’escadron de gendarmerie mobile de Limoges, puis en 2005 il devient gendarme motocycliste après un stage à Fontainebleau. Il est alors affecté à la brigade motorisée de Loches dans laquelle il va rester 11 ans. En 2009, il devient OPJ (officier de police judiciaire) et obtient le grade d’adjudant en 2011. Après Loches, c’est dans le Berry qu’il est muté, plus précisément à Argenton-sur-Creuse, brigade dans laquelle il devient adjudant chef en avril 2017. En février 2021, il est affecté à Salbris en tant que commandant de peloton et passe le grade de major au 1er juillet 2021. Il encadre ainsi un peloton de 15 personnes avec pour secteur d’intervention la partie sud du département de Romorantin, à Theillay et en remontant jusqu’à Yvoy-le-Marron. La brigade est compétente sur les routes et autoroutes. Pacsé et père de deux enfants âgés de 20 et 16 ans, le major est également marathonien et prépare environ 2 marathons par an.
Rattaché à l’EDSR (Escadron départemental de sécurité routière) situé à La Chaussée-Saint-Victor, placé sous les ordres des capitaines Bressac et Zielinsky, le major est épaulé par deux adjointes, l’adjudante chef, Frédérique Meur et l’adjudante Camille Planty. La fonction de motocycliste a tendance à évoluer et à se diversifier vers le judiciaire. En effet, parallèlement à la mission principale de répression, les gendarmes sont amenés à participer à des enquêtes du pôle judiciaire. On note également une féminisation de la profession et un manque croissant de motards, beaucoup de gendarmes allant partir à la retraite d’ici 2024.

F. R.

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