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Des amis à quatre pattes et un appel au crowfunding
Le samedi 21 avril, l’association Handi’chiens organisera à la Halle aux grains, à Blois, « La nuit Handi’chiens », organisée par cinq étudiants en licence professionnelle communication institutionnelle à Tours. Pour rappel, ladite association éduque et remet gratuitement des chiens d’assistance à des enfants et adultes en situation de handicap moteur ou souffrant de troubles psycho-comportementaux. L’objectif de la soirée est donc de permettre le financement d‘un chien (15 000 €), grâce aux participations des convives. Dans le cadre de cette nuit pas comme les autres projets, une campagne de financement participatif sur la plateforme helloasso (https://www.helloasso.com/associations/handi-chiens-paris/evenements/la-nuit-handi-chiens-de-blois). « Sur cette même plateforme, les gens ont également  la possibilité  d’acheter leur place, » informe Karine Vaillant, étudiante en LP communication à l’IUT de Tours. « Un visuel (Cf. notre photo) sera diffusé dans les abribus du département grâce au soutien du Conseil départemental. De nombreux autres partenaires nous soutiennent : Lions club la Renaissance, Leroy Merlin, Flamengo, les gourmandises d’Olivier, la Générale des Services, mais aussi les médias locaux, les institutions (Ville de Blois, municipalité de Fossé), les artistes comme Benjamin le magicien, etc. » Alors, si vous êtes sensible à la cause, il ne vous reste plus qu’à allumer votre écran d’ordinateur ou à saisir votre smartphone et à cliquer…


A Blois, le courant alternatif passe mal
Elles sont installées depuis peu, mais visiblement tous les possesseurs d’automobiles à moteur thermique n’ont pas percuté : il existe désormais à Blois des places avec bornes rechargeables pour véhicules électriques. C’est pratique, sauf si elles sont squattées par des véhicules autre qu’électriques (vérité de Lapalisse). Sur Facebook, on parle de la classique répression à grands coups de PV, entre 22€ et 72 €, tant qu’à faire. Mais plutôt que de tout de suite punir, pourquoi ne pas réfléchir à une meilleure signalisation des dites places ? En mettant de la peinture au sol par exemple, avec des pictogrammes adaptés comme les places pour personnes handicapées ou comme cela se fait aux abords de certains hypermarchés. C’est une alternative possible, comme le courant, à condition de ne pas être trop « borné »… ?


CCI de Loir-et-Cher : sempiternelle complainte, moult inquiétudes
La Chambre de commerce et d’industrie de Blois a tenu une assemblée générale lundi 19 février. Au menu, des angoisses exprimées, par exemple face à la réforme annoncée de l’apprentissage, et aussi et surtout concernant le budget CCI 2018 avec des comptes toujours en berne et des mesures annoncées en guise de bouée de sauvetage comme par exemple des restructurations de postes et des départs non remplacés, ou encore l’amélioration de la rentabilité du campus de la dite Chambre. Le président de la CCI, Yvan Saumet, s’est encore indigné contre cette situation, avec toujours de bonnes phrases, celle-ci notamment. « Alors, que le Saint-Esprit se manifeste ? »


A Saint-Aignan-sur-Cher, l’hôtel Mansart ouvrira ses portes le 30 mars
La famille Guyot, un temps aux rênes du château de Selles-sur-Cher dans le Loir-et-Cher, toujours à la tête de celui de Saint-Fargeau, dans l’Yonne, sans oublier Veuil, Guédelon, Bridoire et la Ferté Saint-Aubin, a acquis une partie de l’ancien hôpital, à savoir le bâtiment dit « Mansart » de trois étages, datant des années 1970. Le site devient en 2018 un hôtel comptant 29 suites pouvant héberger de 2 à 6 personnes, dont les prix de nuitée oscillent entre 80€ et 150€. L’autre caractéristique des lieux est de ne pas disposer de service restauration; seule une offre petit déjeuner dans une salle aux poutres apparentes à un tarif abordable (soit 8€ par personne) sera proposé sur place aux résidents qui devront donc déjeuner ou dîner dans les restaurants du centre-ville, par exemple. Côté décoration, on trouvera des tons bleutés, des gravures et lanternes de style XVIIIe-XVIIIe siècle, mais aussi des animaux en résine. «Il y aura un gorille dans le hall, une chambre panda… » informe Jean-Claude Guyot dont les fils Baptiste et Pierre détiendront les rênes de l’endroit métamorphosé en concertation avec l’architecte des Bâtiments de France. De quoi rappeler le zoo de Beauval sis à proximité et ainsi surfer sur la vague d’un succès déjà confirmé…

E. Rencien et F. Sabourin