Comment savoir, sauf enquête avant son arrivée, si l’automobiliste éventuel utilisateur du parc de stationnement est ou non électeur potentiel ? Et pourquoi, aussi, ne pas lui demander sur qui va se porter son choix ?
Une chose est sûre, après ce premier tour des présidentielles, et, avant le second du dimanche 7 mai : il va falloir reconstruire La France, avec ou sans truelle… et beaucoup de patience.
Chacun(e) est libre de ses opinions dans l’isoloir. Les panneaux officiels, qui ont évité presque tout affichage sauvage, auraient dû être respectés. Lacérer le portrait de tel(le) ou tel candidat(e) ne peut que lui donner plus de pub car on se pose encore plus la question de savoir de qui il s’agissait…
Les travaux en cours autour du parc de stationnement Valin de La Vaissière à Blois ont obligé les usagers à slalomer, sur la pelouse y adjointe, entre les crottes de chien placées là comme des sentinelles, aucune explication n’ayant été fournie pour emprunter un autre chemin vers la place Louis-XII.
Avec une telle flèche plantée en plein front, Jean-Luc Mélenchon ne pouvait que tuer Benoît Hamon…