Gestion des espaces verts et de la qualité de vie
Les agents des Terres Vives réunis en stage pour approfondir le travail initié dans le cadre de l’opération « objectif zéro pesticides dans nos villes et nos villages ».
Depuis janvier 2017, l’association Nature 18 accompagne les agents techniques de la Communauté des Terres Vives devenue Terres du Haut Berry dans une formation qui se déroule en six sessions d’une demi journée. Mardi 11 avril, avait lieu la restitution plénière de ces temps de réflexion, par une présentation des aménagements possibles sur leur territoire en présence des élus. Il s’agissait de poursuivre l’opération « Zéro pesticides » comme le soulignait le président de la communauté de communes Bernard Rouseau : « l’idée était de rassembler les agents de la communauté de communes pour réfléchir à l’après opération « zéro pesticides » et de mettre en place, une réelle gestion différenciée. Regarder autour de soi afin de trouver des aménagements qui économisent du temps et qui soient naturels. C’est possible et aujourd’hui nous l’avons vérifié en écoutant leurs propositions, très intéressantes quant à l’aménagement de notre territoire, ce qu’ils ont pu élaborer en lien avec leurs collègues. ». L’objectif fixé était donc atteint et sera répliqué auprès des autres agents des communes formant désormais la communauté des Terres du Haut Berry. La restitution des travaux était tout à fait remarquable et les propositions émises dignes d’intérêt dans l’objectif de rendre les espaces verts plus sains, plus agréables et plus naturels. Marion Fourtune directrice de Nature 18 était ravie de cette formation et du travail accompli : « Nous accompagnons les communes dans leur recherche d’aménagement des espaces verts et aujourd’hui, c’était la suite de l’opération zéro pesticides déclenchée en 2016. La communauté de communes a exprimé sa volonté d’aller encore plus loin dans cette démarche environnementale et de formation. Nous sommes ravis d’accompagner les agents dans leur désir de changer de regard sur leur commune, de trouver des techniques alternatives pour une gestion saine des espaces verts et de positionner le végétal et la nature au cœur des villages. C’est aussi leur donner des outils pour réinventer des espaces verts et renoncer aux produits phyto pour des produits naturels ; un mieux pour leur travail et bien évidemment pour leur santé »
J. F.