Certains métiers dits féminins s’ouvrent, peu à peu, aux hommes, mais ils restent rares, très et trop rares même. Celui de sage-homme ou sage-femme au masculin. Il y en a toutefois un qui exerce en Loir-et-Cher…
Le film «Sage-Homme», qui ne sortira sur le grand écran que le mercredi 15 mars prochain, commence à être vu, et apprécié car il bouscule plein d’idées préconçues ou reçues, via les premières avant-premières. Ainsi, Cap’Ciné-Blois a accueilli, fin février, l’une des vedettes principales de cette comédie, Karine Viard, venue, avec la réalisatrice Jennifer Devoldère, à la rencontre des quelque 300 spectateurs qui ont pu échanger, à l’issue du film avec le duo, en regrettant que Melvin Boomer soit absent, retenu, par ailleurs, par un accouchement, sans doute ! Ce genre de rencontre-dialogue est moins frustrant que d’échanger avec les invité(e)s, avant la projection, car elles et ils seront bien loin à la fin, ayant d’autres rendez-vous ailleurs, comme cela fut le cas pour Alibi 2.com, récemment au même endroit.
Jules Zérizer