Après s’être longtemps fait désirer, le troisième et dernier volet de la saga Les Vignes de l’Exil montre enfin le bout de son nez ! Si toutefois vous n’aviez pas lu les deux précédents, qu’importe, « Amélia » arrive aussi comme un roman indépendant. Début XXe, Amélia, jeune et riche héritière de vignerons français doit fuir sa terre natale du Brésil pour rejoindre le berceau familial au sein duquel elle compte bien s’accomplir. Rio, Cayenne, Issoudun, Paris, Londres, Phnom-Penh… De péripétie en péripétie, elle s’embarque dans le tourbillon libéré et tragique d’une Belle Époque frappée de modernisme galopant. Son destin extraordinaire l’entraîne au pinacle d’un monde pailleté puis dans les caniveaux d’une société cynique où les codes s’appellent argent, corruption, cupidité, luxure… Artiste ou femme d’affaires, parviendra-t-elle à dompter la fatalité ? L’histoire à la fois pétillante et grave dépayse, interpelle. Tout en s’aventurant vers une très vieille intrigue, elle transporte également aux confins de l’amour, un amour longtemps refoulé qui n‘en soufflera pas moins son dernier mot. En raison des règles sanitaires actuelles, les dédicaces prévues se voient ajournées. Les deux auteurs, Marie-Agnès Bavay-Bezançon et Christian Benz, ne manqueront pas de vous tenir informés des nouvelles dates dès que la situation le permettra. Pour l’heure, Amélia est disponible chez votre libraire préféré ou bien directement via internet. La lecture à ne pas manquer, assurément !