A l’origine, on ne devait installer que 5 caméras de vidéo-surveillance au coeur de la ville de Vierzon ? Ensuite, la situation a évolué, probablement pour ne pas être taxé de laxisme, la municipalité a opté pour un nombre qui est passé à 10 unités. Entre, d’’un côté l’aspect sécuritaire et de l’autre la peur d’un Big brother berrichon, la balance a penché pour le premier. Finalement, un sentiment d’insécurité latent a prévalu face aux libertés individuelles. Un petit pas … Désormais, le quidam se sentira peut-être un peu mieux en marchant sur les trottoirs. Certains verront dans la pause de ces engins comme une intrusion dans sa vie de tous les jours, d’autres une protection face à des incivilités parfois récurrentes. Ceci étant, l’emplacement de ces caméras ne laisse pas indifférent. Là encore cela ne fait pas l’unanimité entre ceux qui optent pour le préventif et ceux qui penchent vers le répressif. Et puis, il y a les plus compliqués: ceux qui veulent de la sécurité mais ne veulent pas entendre parler de caméras ! Délicat tout ça …