Dernière ligne droite avant le face-à-face avec les urnes dimanche 15 et 22 mars. Des rencontres en présence de tous les candidats ont été organisées en février par la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) ainsi que par le MEDEF (Mouvement des entreprises de France), permettant de résumer les idées des un(e)s et des autres (Cf. nos pages Blois et Romorantin pour plus de détails). En février, autant dans l’hémicycle CPME que chez le MEDEF, la majorité des candidats aura récité le programme de campagne pendant les douze minutes accordées individuellement, et peu d’entre eux auront répondu aux questions, hormis Louis de Redon à Romorantin. Oui car il y avait des questions et problématiques soulevées lors des débats CPME et MEDEF. À savoir, par exemple, les besoins de main d’oeuvre (1 000 postes à pourvoir, saisonniers et CDI selon l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie de Loir-et-Cher ; 200 mécaniciens recherchés); la fiscalité locale jugée élevée dans le Blaisois et en Sologne; les enjeux des mobilités et des circuits courts; l’emploi et l’attractivité du territoire, etc. Autant dire qu’il y a du boulot pour les futurs (ré)élus…
É. Rencien