En bref en Berry


En bref
Des Berrichons sur les routes du Tour
Deux Berrichons ont été sélectionnés par leurs équipes respectives pour participer à la 106e édition du Tour de France. Le Vierzonnais William Bonnet (Groupama-FdJ) et le Saint-Amandois Julian Alaphilippe (Deceuninck Quick-Step) n’auront pas les mêmes objectifs. Le premier dont ce sera la 9e participation à la Grande Boucle aura pour rôle de mettre Thibaut Pinot dans les meilleurs conditions pour aller prendre une place sur le podium du classement général. Quant au second, pour une deuxième fois sur la course mythique, il tentera de faire aussi bien que l’an passé avec des victoires d’étapes et le maillot de meilleur grimpeur.

Le Berry Sport 44 est sorti
Le magazine trimestriel des sports du Berry est sorti. A la Une la performance de l’écurie Signatech Alpine de Philippe Sinault, après sa victoire aux 24 Heures du Mans dans la catégorie LMP2; la troisième en quatre ans. Les Bleus ont été également sacrés champions du monde LMP2 pour la deuxième fois. « Un gros dossier Tango Bourges Basket avec, notamment, l’interview de Pierre Fosset, un président d’exception qui a décidé de passer la main après 25 ans de règne au sommet. On fera aussi connaissance avec les cinq nouvelles Tango, Isabelle Yacoubou, Elin Eldebrink, Ana Dabovic, Alexia Plagnard et Marissa Coleman. Laurent Di Bernardo, coach heureux s’il en est, raconte l’épopée du Bourges Foot qui a gagné le droit d’évoluer en N2 la saison prochaine. Berry Sports s’est arrêté aussi à Vierzon où on a soufflé le très chaud et le glacial. Le très chaud avec l’accession en Élite de roller-hockey des Prédateurs; le glacial avec la relégation des SAV Rugby en Honneur régional après 71 années de présence continue au niveau national; un véritable traumatisme. Un n°44 où l’on retrouve aussi le retour en Élite de la SM Bourges; les 50 ans du RCI, la photo souvenir de la victoire en Coupe de France du TBB, et bien d’autres choses au fil des pages tournées.

Vivre notre Loire confortée
L’association Vivre notre Loire avait lancé une procédure contre EDF et l’ASN au cours de l’année passée. Des requêtes avaient été diligenté en mai et septembre 2018. Le conseil d’État a donné raison à l’association , sur le fond, à son opposition à la mise en place d’une aire de stockage provisoire de déchets potentiellement pathogènes dans le CEP de Belleville-sur-Loire. Le Conseil d’État a suivi les demandes de l’association écologique qui demandait d’annuler « la décision n° CODEP-OLS-2018-012716 du 20 mars 2018 du président de l’Autorité de sûreté nucléaire autorisant la société Électricité de France (EDF) à créer provisoirement une aire d’entreposage de déchets potentiellement pathogènes sur le site de la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire. » Le conseil a par ailleurs décidé que « l’Autorité de sûreté nucléaire et la société Électricité de France verseront chacune à l’association Vivre notre Loire la somme de 1 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. »
Dans le cadre du Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) organisé par la Commission Nationale de débat Public (CNDP), et dans l’hypothèse du choix du site de Belleville pour lieu d’implantation de piscines centralisée de déchets nucléaires radioactifs usagés, Mox ou autre déchets similaires (voir nos éditions précédentes) en provenance de tout le territoire national, L’association Vivre notre Loire a conçu un « cahier d’acteur » dans lequel s’exprime une « ferme opposition à ce projet, jugé économiquement défavorable à la région Centre-Val de Loire et dangereux pour ses populations ».
F.S.